dimanche 26 octobre 2008

Oups.

La semaine dernière, Alban a acheté des noix. Dans un esprit louable de partage socialiste, il les met à disposition de la collectivité. Malheureusement, le Plan Quinquennal, sans doute en raison d'un sabotage, n'a pas prévu la production de casse-noix. Après quelques essais infructueux pour les briser dans nos doigts puissants (nous ne sommes pas encore assez vernalisés, de toute évidence. Patience !), Ioannis a une "idée" : on n'a qu'à utiliser la charnière de la porte pour faire pression sur les graines cuirassées susnommées. Bilan : "Jamais vu une noix aussi dure, m'enfin !" (Le Parti renvoie les cancres bédéphiles à la lecture assidue de Gaston Lagaffe pour saisir l'allusion). Maintenant, la porte de la cuisine ne ferme plus. Et on ne mange plus de noix. Par contre, on a toujours pas de casse-noix. Mais qu'est-ce qu'on a rigolé.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

François, ton arrière-arrière grand-père, dit "le pépé Chauny" (celui qui se chauffait à la cheminée de chez Bébert à Saint-Vincent de Connezac), bûcheron de son état et sincère admirateur, en son temps, du petit père des peuples (il y croyait, comme on dit), cassait, paraît-il, les noix d'un bon coup sec entre ses doigts... Bon, ben, t'as pas hérité du Pépé Chauny, il suffit de regarder tes mains! Anne-Marie