Après deux jours de jeûne, dont une journée nourri par perfusion sanguine, le camarade Vorochilov est à nouveau capable de manger, et déguste avec fougue la succulente nourriture de l'hôpital Lyssenko. Un signe de plus de son rétablissement prompt au-delà de toute espérance, mais que valent les probabilités bourgeoises face à la soliditié d'acier d'un organisme soviétique et à la force d'âme du camarade-maréchal ?
mardi 9 décembre 2008
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6 commentaires:
Miam miam !!
S'il mange ça, c'est pour moi beaucoup plus un signe de fringale monstrueuse que de rétablissement... Il faut être fou pour tenter d'avaler la nourriture servie dans les hôpitaux !
A poil Vorochilov !!
Le foie gras t'attend à la maison, t'en fais pas! (Anne-Marie)
Oh nooon quelle photo atroce...
K.I. Vorochilov
Manger de la nourriture dans un hôpital c'est dur mais dans un hôpital (ex) soviétique ça doit être dur. (J'ai moi même mangé un repas à l'hôpital "populaire" de Hanoï et j'en garde un grand souvenir!)
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