Un tantinet lassé par les après-midi d'ennui à l'abshijitié, le Politburo a décidé de reprendre le cours de ses visites hebdomadaires des lieux de mémoire de la capitale du socialisme. Hier, donc, V.M. Molotov et K.I. Vorochilov se sont rendus au Musée de la Grande Guerre Patriotique, situé à l'entrée du Park Pobiedy (parc de la victoire), dont nous vous avons déjà parlé dans ces pages. Comme d'habitude, les droits d'entrée pour les étudiants, à plus forte raison aussi prestigieux que nous, sont symboliques.
Le musée est gigantesque, et se compose de quatre secteurs : Au rez-de-chaussée, la "Galerie des Larmes" (photo) commémore tous les soldats tombés au front. Au plafond, 2 600 000 chaines en cuivre au bout desquelles pendent des larmes de cristal représentent les pleurs des familles des 26 000 000 de morts soviétiques dans leur lutte héroïque contre la barbarie nazie et capitaliste.
Au fond du couloir, une salle circulaire décorée de même, abrite une statue de la Mère-Patrie pleurant ses fils.
Le tout est impressionnant, comme tout ce qui a été construit sous l'inspiration du camarade Staline, bien évidemment.
Le musée est gigantesque, et se compose de quatre secteurs : Au rez-de-chaussée, la "Galerie des Larmes" (photo) commémore tous les soldats tombés au front. Au plafond, 2 600 000 chaines en cuivre au bout desquelles pendent des larmes de cristal représentent les pleurs des familles des 26 000 000 de morts soviétiques dans leur lutte héroïque contre la barbarie nazie et capitaliste.
Au fond du couloir, une salle circulaire décorée de même, abrite une statue de la Mère-Patrie pleurant ses fils.
Le tout est impressionnant, comme tout ce qui a été construit sous l'inspiration du camarade Staline, bien évidemment.
1 commentaire:
C'est d'un goût...
Enregistrer un commentaire